les révélations du journal Libération sur les profits suspects du Groupe Bernard Hayot (GBH)
Ces profits seraient en partie liés à des frais artificiels, notamment les coûts d'importation et d'octroi de mer, qui profiteraient à des entreprises liées au groupe. Le collectif, déjà préoccupé par l'inaction de l'État face à la situation économique, a adressé un courrier au préfet pour demander une rencontre afin de discuter des suites à donner à ces révélations et renforcer les contrôles sur les marges et les prix.